Lulu Dijon Mar 23 Fév - 10:31
C'est avec un
Anquetil que j'ai découvert ces vélos avec des noms prestigieux accolé à des vélos de mer***. Dans un sens ça me rend triste car ça ne rends pas honneur au nom de ces champions, mais d'un autre côté ça permet de faire un peu vivre encore ces noms.
Et puis refaire des vélos comme ça, j'y trouve un certain intérêt. Tout d'abord, ça ne fait que 2 ans et des bananes
que je suis tombé dans la marmite du vélo et se faire la main sur des vélos comme ça, c'est parfait : pas de stress de faire une connerie. Sur ce vélo, je me suis confronté aux cantilevers et j'ai fait une conversion en V-Brake. Rien de bien compliqué, mais il faut l'avoir fait une fois pour bien comprendre la manoeuvre. Si cela avait été sur un beau VTT, j'aurai tout gardé d'origine où fait des échanges standard. Dans ce cas, je ne me suis pas trop pris la tête (si ce n'est sur ces put*** de manette de mer** de bor*** de bite à qu***, que j'ai fini par changer !
). Et puis on peut s’amuser à faire de l’excentrique : ça ne peut que les améliorer ces drouilles (c'est ce qu'on est en train de faire avec le fiston sur le Anquetil au fil des pièces qu'on récupère et de nos idées).
Ensuite, ce vélo est certes bas de gamme, mais il va de nouveau être utilisé. Ces vélos retapés, ce sont autant de nouvelles mer*** chinoises qui ne seront pas importées. Car quand on me parle d'écologie avec un vélo électrique neuf "
made in L'autre bout d'la planète", j'ai un peu du mal. Comme on dit, l'énergie la moins polluante, c'est celle qu'on ne consomme pas. Là j'enfonce des portes ouverte et je m’égare, ce n'est pas le sujet...
Au final, on parle de M. Stablinski, et je trouve ça plutôt cool.