Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes (Goethe)
Rantanplan a écrit:J'ai deux vélos avec ce morceau de cornouiller dans le pivot de fourche. Ce n'est pas du bois de chauffage, mais le Reynolds du bois, il est justement choisi pour sa dureté et sa résistance
C'était une pratique par le passé (quand ?), au moins jusque dans les années 70 manifestement. Ca permettait d'éviter la désolidarisation complète de la fourche en cas de rupture à la base du pivot.
Il me semble que sur les vélos de moins de 50 ans correctement conçus et utilisés, ce risque est devenu si faible que la pratique du cornouiller est tombée en désuétude.
Rien de particulier pour l'enlever, il faut retirer l'axe de frein avant, et le chasser avec un tournevis et un maillet. Moi je les ai remis...
ont pas mal d infos dessus , c est enfoncé en force , je voulais être sur qu il n y ait pas d astuces de démontage , de visu et sans savoir que c est du bois on jurerait a un bouchon plastique , si j avais pas la potence grippée j irais pas le déloger 
Rantanplan a écrit:Si ta potence est grippée, le cornouiller va être difficile à déloger, car il est est enfoncé en force. Donc le plus simple est de le chasser en le poussant par l'autre côté. Peut-être en ôtant la tige de serrage de la potence, pour passer à la place une tige encore plus fine et longue ?
MAFAC 2000, tu penses que ces vélos pouvaient être équipés d'origine du cornouiller ?
J'ai toujours pensé que c'était ajouté artisanalement, mais après tout, je n'en sais rien
Robur a écrit:J'ai une randonneuse des années 80 qui a bourlingué équipée de ce bois de cornouiller.
Etait-ce un peu de la superstition chez les vieux randonneurs ? Est ce que ça a vraiment une utilité et que ça n'a pas été un peu surjoué cette affaire ? Depuis que je fais du vélo je n'ai jamais entendu parler d'un cycliste qui aurait cassé son tube de fourche suite à un choc. Je pense que les fourreaux de fourche doivent plier avant que le tube de réception ne rompe...
Kazinski21 a écrit:Question simplette, mais, ça occupe qu'elle longueur dans le pivot?
Rantanplan a écrit:Si ta potence est grippée, le cornouiller va être difficile à déloger, car il est est enfoncé en force. Donc le plus simple est de le chasser en le poussant par l'autre côté. Peut-être en ôtant la tige de serrage de la potence, pour passer à la place une tige encore plus fine et longue ?
Durifort a écrit:Rantanplan a écrit:Si ta potence est grippée, le cornouiller va être difficile à déloger, car il est est enfoncé en force. Donc le plus simple est de le chasser en le poussant par l'autre côté. Peut-être en ôtant la tige de serrage de la potence, pour passer à la place une tige encore plus fine et longue ?
Peut être que cet outil a été conçu pour ça ?
pas tout à fait, parce qu'on a la longueur du bout de bois, mais pas celle du pivot !Kazinski21 a écrit:Merci Kirill. Ça répond à ma question.
Yep, à part en cyclo-cross, la seule rupture de fourche dont j'ai entendu parler, c'est un fourreau qui s'était désolidarisé.Robur a écrit:J'ai une randonneuse des années 80 qui a bourlingué équipée de ce bois de cornouiller.
Etait-ce un peu de la superstition chez les vieux randonneurs ? Est ce que ça a vraiment une utilité et que ça n'a pas été un peu surjoué cette affaire ? Depuis que je fais du vélo je n'ai jamais entendu parler d'un cycliste qui aurait cassé son tube de fourche suite à un choc. Je pense que les fourreaux de fourche doivent plier avant que le tube de réception ne rompe...
|
|
|
Accueil
kirill Jeu 11 Nov - 10:09