Perte de performance ancien-recent

Un évolution qui m'a semblée très intéressante c'est d'avoir différencié la conception du cercle de la roue avant et de la roue arrière. En effet les deux ne travaillent pas du tout de la même façon.

Est-ce grâce à ça que les roues modernes donnent cette impression de facilité?

La grande différence que je ressens entre mon vieux Columbus nemo et mon carbone c'est le confort. Mon carbone filtre bien mieux les petites aspérités, en descente le nemo a vite tendance a sautiller.

Ensuite, vis à vis des vélos de clm, y'a un vrai plus, faut APS se leurrer. Un collègue a les deux, un course carbone et un clm, tout deux récent, il gagne 2 km/h de moyenne pour le même zffort sur le trajet taf assez plat, rien que l'aero fait le job.

Pour un parcours comme l'IM de nice dont la pente dépasse pas les 10%, le col de Vence tournant dans les 6-7%, un clm fera mieux, surtout s'il monte le Vence assis. Le reste de la trace il se calera dans les prolongateurs et jouera de l'aero.

Le Nemo est un tube moderne, seulement utilisé sur des cadres course avec des géométries très typées années 90, douille et bases courtes et sur dimensionnées. C'est un tube qui est très " sec" ,qui vibre beaucoup. Et bizarrement les seuls encore vivants sont les Decathlon, fabriqués en série.
Et ton collègue doit avoir pas mal de jus ! Même sur 6% mon mètre 68 préfère un vélo traditionnel et des jantes plates !

C'est ça !

Decathlon en nemo, une plaie le matin en petite forme et un régal le soir plein d'entrain.
Ça vibre et ça frétille, une horreur sur bitume crade mais u bonheur dans les grimpettes très raides.
Je monte plus vite avec lui qu'avec mon emonda dans le raidard entre 10 et 20% du jeudi matin.

Et oui, le collègue a du jus.

Pour rouler en groupe on a vu la différence, on roule ensemble quand il a le route et on le suit plus quand il a le clm.

Une fois dans les prolongateurs, sur le plat, ça s'envole.