Motobécane TR2M, 1977

dromaludaire a écrit:

Ed Shutter a écrit:Ça c'est un problème qui lié à la structure du forum : les vélos pour dames sont nécessairement des vélos de ville.

Alors qu'il y a plein de vélos pour dame capable d'affronter la route. Déjà rien que ceux de Madame :

https://www.velovintageagogo.com/t6513-peugeot-cassis-1987

Haha, du coup celui de ma maman aussi! Enfin le HLE est quand même moins bon que le V. 182. Donc je suis pour dire que les randonneuses et randonneurs sont pas genré(e)s.

Et le Vitus alu tout mou ?

david26 a écrit:fixation sacoche ( le vélo est hyper crade de poussière )

ces manettes , c'est du shimano , anciennement 333 .

Ed Shutter a écrit:Plus sérieusement, quand j'étais ado je trouvais que les couleurs des Mobylettes et des vélos Tobec était un peu étrange pas vraiment mode pas vraiment classique non plus. Avec le recul je pense que le choix des couleurs s'explique par leur tenue dans le temps.

C'est possible. Il y a peut-être un facteur empirique dans leur choix de peintures. Ou peut-être qu'ils testaient activement la durabilité de leur peinture plus que d'autres aussi ? Parfois, la présence ou l'absence d'une seule personne dédiée au boulot X peut faire une énorme différence sur les charactéristiques d'un produit. E.g. un unique "stress engineer" chez simplex aurait pu éviter l'usage hasardeux du delrin (parfois ça tient, parfois ça casse). Des aérodynamistes un minimum compétents chez la quasi totalité des équipmentiers actuels feraient des miracles pour l'efficacité de leur gadgets plutôt "chèro" que "aéro". ;)

dromaludaire a écrit:En tous cas une chose est sure : pour ma part je l'aurai mis dans les randonneuses légères ce mixte en Vitus 172, dans les "vélos de ville" c'est vraiment pas flatteur, quel que soit son usage à venir.

Je repense à ça en tombant sur cette vidéo. Des vélos de ville typiques ont été produits avec du tube haut de gamme, tel ce Claud Butler de 1956 tout Reynolds 531:

Après, ces mêmes cadres équipés differemment étaient peut-être effectivement vendus comme "randonneuse".

En retrouvant toutes mes photos de chantier, je m'aperçois que je n'ai jamais montré cette bourgeoise après toilettage. (STP frob, clôture tes sujets.)

On ne voit pas franchement la différence avec l'avant; le machin n'ayant de toute évidence jamais beaucoup roulé. Pourtant, à part les roues simplement nettoyées/astiquées, la moindre rondelle a été ausculté, soignée, protégée. Ainsi va la vie ingrate du toiletteur.















Je sais maintenant pourquoi il est doré: ce n'est pas par complexe de classe, c'est parce que c'est le parfait camouflage dans le soleil de printemps.